L’occasion de partager avec vous une belle opération menée par KitchenAid à l’occasion d’Octobre Rose. Depuis 17 ans, la marque est partenaire de l’association « Le Cancer du Sein : Parlons-En ! » qui vise à promouvoir l’information et à sensibiliser les femmes sur l’importance d’un dépistage précoce. Toute l’année, KitchenAid reverse à l’association une partie des bénéfices réalisés sur les ventes de sa gamme de robots roses. Durant le mois d’Octobre, KitchenAid souhaite accroître ses dons et nous invite à participer à l’opération !

Pour cela, il vous suffit de poster sur instagram une photo avec une touche de rose (recette, vêtement, accessoire, déco… peu importe !) en mentionnant le #KitchenAidPinkFight. Pour chaque photo postée, KitchenAid s’engage à reverser 1€ à l’association.

Pour la pâte :

• 200 g de farine
• 80 g de sucre glace
• 25 g de poudre d’amandes
• 1 pincée de sel
• 120 g de beurre très froid
• 1 œuf entier battu

1. Mélangez la farine, le sel, le sucre glace et la poudre d’amandes.
2. Coupez le beurre en petits morceaux. Travaillez le mélange délicatement du bout des doigts jusqu’à obtenir un sable fin. Veillez à conserver les mains toujours bien froides pour que le beurre fonde le moins possible.
3. Creusez un puits et y versez l’œuf battu. Formez une boule de pâte homogène en travaillant doucement la pâte, du plat de la main.
4. Couvrez la pâte et laissez- la reposer au frais au moins deux heures.
5. Une fois la pâte reposée, disposez-la sur un plan de travail fariné. Étalez-la au rouleau jusqu’à obtenir un cercle de la taille désirée.
6. Foncez la pâte dans un moule généreusement beurré. Laissez-la reposer 30 minutes au réfrigérateur. Pendant ce temps, faites préchauffer le four à 180°C.
7. Tapissez le fond de tarte de papier cuisson et déposez dessus des poids de cuisson. Enfournez pour 30 minutes environ. Laissez ensuite refroidir le fond de tarte.

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Notre colis contenait l’huile d’olive 03 Douceur, des gressins à se damner tant ils sont bons, une crème d’olives vertes et du miel du Péloponnèse. Nous avons découvert le plaisir d’utiliser une huile d’olive de qualité, ce que nous ne faisions pas auparavant. Nous n’aimions pas tellement ce produit (nous n’en utilisions jamais en salade par exemple), la faute finalement à nos achats de qualité moyenne en grande surface. Celle-ci dégage une odeur douce, et l’est tout autant pour le palais.

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Pour ajouter un peu de peps, j’ai ajouté quelques tranches d’orange sanguine à l’intérieur. Vous pouvez la remplacer par des myrtilles par exemple, ou ne pas mettre de fruits du tout.

Pour un pain d’épice moelleux (cuit dans un moule à cake « standard »)

• 10 cL de lait
• 1 càs de badiane (j’en ai mis 5)
• 50g de farine T110
• 125g de farine de seigle
• 25g de fécule de pomme de terre (ou maïzena)
• 1 sachet de levure chimique
• 15g de cassonade
• 170g de marmelade d’orange amère
• 150g de miel
• 1/2 càc de quatre-épices
• 1 càc de cannelle en poudre
• 2 œufs
• 80g de beurre mou
• 1 petit càc de sel fin

Facultatif :

• 1 orange sanguine
• 3 cuillères à soupe de confiture d’abricot pour la finition

Préchauffez votre four à 170°C.

1. Versez le lait dans une petite casserole, portez-le à ébullition puis ajoutez-y la badiane & laissez infuser environ 10 minutes.
2. Faites chauffer le miel et la marmelade d’orange à feu doux.
3. Dans un récipient, versez les farines, la fécule/maïzena, la levure chimique, la cassonade, la cannelle et le quatre-épices.
4. Ajoutez le miel & la marmelade chauffés au mélange précédent en mélangeant avec une spatule.
5. Incorporez les oeufs, le beurre mou (pas fondu), et le sel sans cesser de remuer.
6. Filtrez le lait directement dans la pâte. Continuez de mélanger à l’aide de la spatule jusqu’à ce que la pâte soit bien homogène.
7. Beurrez votre moule à cake. Si vous souhaitez une petite croute bien croustillante sur les extérieurs, ajoutez du sucre blanc après avoir beurré le moule, celui-ci va caraméliser à la cuisson (secret de mamie).
8. Garnissez le moule avec la moitié de la pâte. Si vous voulez ajoutez des fruits c’est le moment. Ici j’ai mis une orange sanguine coupée en fines tranches. Recouvrez avec le reste de pâte.
9. Enfournez et laissez cuire environ 40 minutes. Le pain d’épice est cuit lorsque la lame du couteau ressort propre.
10. Attendez quelques minutes que le pain d’épice refroidisse avant de le démouler sur une grille. Il est très fragile et risquerait de casser. Lorsqu’il est complètement refroidi, vous pouvez le napper légèrement au pinceau avec la confiture d’abricot chauffée.

Nous avons savouré cette petite gourmandise à la Mare à Goriaux, un endroit vraiment très chouette à seulement 30 minutes de Lille, découvert grâce à la copine Alice.

Nous avons enfilé nos gants, mis la vaisselle chinée & le pain d’épice dans un tote bag et grimpé dans la voiture.

Le froid qui pique les doigts & la douceur du pain d’épice qui réchauffe les papilles, le combo était parfait lors de cet après-midi ♡

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Ces derniers temps sur Pinterest beaucoup de photos de ce dessert plutôt photogénique défilaient.  Elles avaient l’air très bonnes mais c’est en découvrant cette recette que je me suis mise aux fourneaux. Généralement, la pavlova est ornée de fruits rouges. Seulement, à cette période de l’année, les fruits rouges ne sont pas de saison et sont chers, difficiles à trouver, et pas franchement très bons. Cette recette avec des poires semblait donc une délicieuse alternative ! Benjamin et moi adorons les Merveilleux au spéculoos, ces petits desserts à base de meringue et de crème fouettée. Les ingrédients étant à peu près similaires pour la Pavlova, il n’en fallait pas plus pour me pousser à enfiler mon tablier afin de retrouver notre petit compagnon de cuisine le Mini Artisan de KitchenAid.

Pour 4 à 6 personnes (selon la gourmandise) :

La meringue (vous pouvez la préparer la veille) :

• 3 blancs d’œufs (si possible tempérés, il suffit pour cela de les clarifier la veille)
• 1 sachet de sucre vanillé
• 70g de sucre semoule
• 70g de sucre glace

1. Préchauffez votre four à 110°

2. Commencez par fouetter les blancs avec le sucre vanillé.

3. Quand ils commencent à être bien montés, ajoutez le sucre semoule en plusieurs fois tout en continuant de battre.

4. Continuez de fouetter jusqu’à l’obtention d’une meringue bien blanche qui tient au fouet (vous devriez avoir un « bec d’oiseau »).

5. Tamisez le sucre glace directement sur votre préparation et mélangez doucement à l’aide d’une maryse.

6. Préparez une plaque de cuisson pour pâtisserie et recouvrez-la de papier cuisson. Pour former votre socle en meringue vous pouvez soit réaliser une grande meringue, soit plusieurs petites individuelles. Il n’est pas nécessaire d’utiliser une poche à douille, vous pouvez simplement étaler la meringue à l’aide d’une cuillère (les irrégularités sont belles sur ce dessert).

7. Enfournez et faites cuire environ 1h10 à 110° (à moduler en fonction du four). Normalement, la meringue est cuite lorsqu’elle est bien sèche à l’intérieur (dixit Christophe Felder), seulement la nôtre était encore assez molle à l’intérieur et c’était tout aussi bon ! Laissez la refroidir complètement.

La crème fouettée au spéculoos :

• 150g de crème fleurette entière (minimum 30% M.G.) bien froide
  
• 20g de cream cheese type Philadelphia
  
• 4 généreuses càs de pâte de spéculoos : vous pouvez l’acheter toute prête dans le commerce ou la réaliser vous-même en mixant une dizaine de spéculoos et en ajoutant du lait concentré non sucré (environ 3 à 4 càs) jusqu’à obtenir la consistance d’une pâte à tartiner.

L’important pour réaliser votre crème fouettée est de veiller à ce que vos ingrédients soient bien froids. Il vous suffit alors de tout verser dans la cuve de votre robot et de fouetter en augmentant progressivement la vitesse jusqu’à l’obtention d’une belle crème fouettée.

Remarque : si vous n’aimez pas le spéculoos, vous pouvez bien entendu réaliser une crème fouettée nature ou aromatisée à la vanille.

Petite astuce (chopée chez Christophe Michalak)  : si vous n’avez pas de robot pâtissier mais un bon vieux fouet électrique et un petit saladier, vous devez connaître les éclaboussures de crème dès le premier coup de fouet #souvenirssouvenirs. Pour les éviter il vous suffit de recouvrir votre saladier de film alimentaire étirable, de faire deux petites encoches pour passer vos fouets et, magie magie, le film bloque les éclaboussures ! Attention toutefois à ne pas embarquer le film dans vos fouets en marche #souvenirssouvenirsbis

Les poires au sirop :

• 2 poires encore fermes (de préférence bio car on va utiliser la peau). Remarque : avec cette quantité de sirop, vous pouvez cuire jusqu’à 6 poires.
• 1 gousse de vanille ou 1 càc d’extrait de vanille
• 500 mL d’eau
• 125g de sucre blanc
• 1 citron

1. Épluchez vos poires mais ne jetez pas la peau, on va s’en servir pour aromatiser davantage notre sirop.
2. Pour éviter que vos poires ne s’oxydent, trempez-les dans de l’eau froide citronnée. Réservez-les en attendant de préparer le sirop.
3. Versez dans une casserole les 500 mL d’eau, les 125g de sucre, la vanille et ajoutez les épluchures.
4. Portez à ébullition puis baissez le feu et laissez frémir quelques minutes.
5. Déposez les poires dans votre casserole et laissez cuire à frémissements pendant 10 à 15 minutes. Les poires doivent être tendres mais la chair encore légèrement ferme.
6. Laissez-les refroidir dans le sirop puis égouttez-les.

Le montage :

Quand tous les ingrédients sont bien froids, vous pouvez réaliser l’assemblage ! Le montage est le même pour une pavlova à partager ou des petites individuelles. Si vous choisissez le format individuel, vous pouvez couper votre poire en deux.

Attention, étapes très simples, soyez attentif : déposez le socle en meringue sur un joli présentoir, ajoutez une généreuse couche de crème fouettée, puis disposez vos deux poires, un peu de poudre de spéculoos… et c’est fini. Le plus difficile finalement, c’est d’attendre le dessert !

On vous souhaite un très joyeux Noël !

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Nous pourrions faire une rubrique spéciale « farine de châtaigne » sur ce blog, nous allons cependant nous restreindre et nous nous en tiendrons à deux ou trois recettes, c’est promis Pour ceux qui n’aimeraient pas, vous pouvez la remplacer par de la farine de blé.

Aujourd’hui, nous vous proposons une recette de moelleux à la rhubarbe et à la pêche. La rhubarbe vient du jardin de mes parents. J’aimerais pouvoir en congeler des kilos et des kilos pour pouvoir en profiter toute l’année, tellement c’est bon. Quelques pêches traînaient dans la corbeille à fruits, alors hop nous les avons ajoutées à la préparation. Le mariage est divin, avec une pointe d’acidité, juste ce qu’il faut.

Pour un moelleux pêches-rhubarbe (environ 23cm de diamètre)

• 3 pêches ou nectarines
• 300g de rhubarbe découpée
• 90g de beurre pommade
• 80g de sucre roux + 40g pour les fruits
• 2 œufs
• 120g de farine de châtaigne
• 80g de farine de blé
• 80 mL de lait ribot
• 1/2 sachet de levure chimique
• 1 sachet de sucre vanillé

1. Préchauffez votre four à 150°C – Th.5.
2. Préparez la rhubarbe et les pêches. Pour la rhubarbe, coupez les extrémités, pelez les tiges et lavez-les. Coupez-les en tronçons d’environ 2 cm. Pour les pêches, lavez-les et enlevez les noyaux. Nous avons laissé la peau et les avons simplement coupées en morceaux.
3. Faites revenir les fruits avec les 40g de sucre roux dans un faitout, sans couvrir, pendant environ 5 minutes. Les fruits doivent être à peine cuits, puisqu’ils vont encore cuire au four.
4. Fouettez le beurre pommade avec le sucre, jusqu’à ce que le mélange devienne crémeux. Ajoutez les œufs et mélangez. Incorporez ensuite le lait ribot. Ajoutez enfin les farines, la levure et le sucre vanillé. Mélangez.
5. Ajoutez les fruits. Ne mettez pas tout le jus (seulement l’équivalent de 2 ou 3 cuillères à soupe). Vous pouvez garder le reste pour faire un rhubarbe curd par exemple, ou l’incorporez dans une confiture à la fraise.
6. Versez la préparation dans un moule préalablement beurré et enfournez pendant 30 à 40 minutes. La lame du couteau doit ressortir propre. (Facultatif : A mi-cuisson, déposez quelques noix de beurre sur le dessus et saupoudrez de cassonade. Un caramel va se former et apporter encore plus de gourmand).

N’hésitez pas à le servir avec une boule de glace, mioum !

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Une recette très simple qui vous a, semble-t-il, fait saliver sur Instagram.

A la demande générale voici donc la recette ! Puisque je n’avais fait que deux petites photos la première fois, et que ce n’est pas notre genre ici de s’en tenir à ça (j’admire ceux qui y parviennent !), nous avons réfléchi à deux autres associations, l’une à base de pommes, l’autre d’oranges.

Ingrédients pour une tarte d’environ 25 cm (pâte épaisse) :

• 80g de farine de blé T.55
• 150g de farine de châtaigne  (Edit : après plusieurs essais, je mets aujourd’hui 120g de farine de blé pour 110g de farine de châtaigne. C’est tout aussi bon, mais plus subtil ! N’hésitez pas à tester les 2 et à nous dire ce que vous en pensez )
• 20g de son d’avoine
• 20g d’amandes en poudre
• 40g de sucre roux
• 140g de beurre froid en morceaux
• 1 œuf entier
• 1 petite càc de cannelle
• 1 petite càc de gingembre
• 1 pincée de muscade
• 1 càc d’extrait de vanille

La recette

La première fois que j’ai réalisé cette pâte j’ai utilisé la technique de la pâte sucrée, comme je le fais habituellement. Mais finalement, il vaut mieux utiliser celle de la pâte sablée (cf. la bible rose qui ne me quitte plus) car cette pâte contient très peu de sucre et l’idée est ici d’obtenir un sablé friable, mais pas trop.

Quand je l’ai étalée pour le mélange choco-poires, j’ai été surprise par sa texture collante. Impossible de foncer correctement un moule ! J’ai donc pensé à ces tartes « rustiques » que l’on voit sur pinterest, pour lesquelles il suffit de replier les bords sur les fruits. Et je trouve finalement que c’est hyper simple et très joli.

1. Tamisez ensemble les farines, la poudre d’amandes et les épices.
2. Ajoutez le beurre en morceaux, la vanille, le sucre roux et le son d’avoine.
3. Sablez la pâte à la main afin de bien incorporer le beurre aux autres ingrédients. On obtient une texture sableuse assez fine.
4. Ajoutez l’œuf entier directement dans la pâte et continuez à malaxer à la main jusqu’à l’obtention d’une boule de pâte lisse.
5. Filmez et laissez reposer durant 2 heures au réfrigérateur.

• Deux heures plus tard, on sort la pâte et on l’étale à l’aide d’un rouleau.

Pour la garniture tout est permis, alors amusez-vous ! On vous propose trois associations :

• Poire-chocolat, une petite tuerie. Faites fondre quelques carrés de chocolat (selon votre gourmandise), et étalez-le chocolat sur votre pâte. Coupez des poires au sirop en lamelles et disposez-les sur le chocolat.
• Pomme-confiture de lait, pour un retour en enfance. Étalez de la confiture de lait sur votre pâte (l’équivalent de 2 cuillères à soupe). Coupez deux pommes en lamelles et disposez-les sur la confiture. A l’aide d’un pinceau, badigeonnez vos pommes de confiture de lait.
  
• Orange-confiture de mangues, pour un petit côté acidulé. Étalez de la confiture sur votre pâte. Épluchez et coupez deux oranges en tranches. Disposez ces tranches sur la confiture. Nous voulions faire orange-rhubarbe mais ce n’est pas encore la saison. En tout cas, la prochaine fois c’est celle que l’on tente !

Repliez les bords (aidez-vous d’un couteau si besoin) et faites cuire 20-25 minutes dans un four préchauffé à 170°C.

On espère que cette recette vous plaît, n’hésitez pas à nous laisser un petit commentaire si vous tentez d’autres associations !

Cet article Une <em>histoire</em> de <em>tartes</em> est apparu en premier sur Carnet de printemps.

Nous sommes allés au marché de Wazemmes chercher des fruits : des fraises, des mûres et des framboises. Ils ne sont pas de saison mais ce n’est rien, c’est tellement bon.

Et nous sommes rentrés pour faire un Naked Cake (un gâteau constitué de plusieurs couches et qui n’est pas recouvert de glaçage). Benjamin a deux desserts préférés : le gâteau au chocolat et le tiramisu aux spéculoos. Alors on s’est dit que nous allions mixer les deux : du gâteau au chocolat à la place d’une génoise « classique » et de la chantilly aux spéculoos en guise de crème. Le résultat était divin !

La recette du gâteau Bellevue de Christophe FELDER, légèrement modifiée (nous avons enlevé la poudre d’amande) pour trois gâteaux de 15 cm de diamètre :

• 125 gr de chocolat noir
• 4 œufs
• 10 cl de crème liquide
• 2 cuillères à soupe de lait
• 60g de farine
• 90g de sucre (quantité ici pour du chocolat de pâtisserie « classique » du commerce à environ 50% de cacao)

1. Préchauffez le four à 160°c.
2. Dans un récipient, faites fondre au bain-marie le chocolat avec la crème liquide et le lait.
3. Séparez les blancs d’œufs des jaunes.
4. Incorporez les jaunes un par un dans le mélange au chocolat. Ajoutez ensuite la farine.
5. Montez les blancs en neige ferme, serrez-les avec le sucre. Ajoutez les blancs à la préparation au chocolat, en les soulevant délicatement avec une maryse afin de ne pas les casser.
6. Versez l’appareil dans votre moule préalablement beurré.
7. Faites cuire 20-25 minutes. Dès sa sortie du four démoulez le gâteau  et laissez-le refroidir sur une grille.
8. Faites cuire les deux autres gâteaux.

Pour la couche de crème, nous avions réalisé une crème chantilly classique aux spéculoos (300 cL de crème fleurette + 60g de mascarpone + 3 Càs de pâte de spéculoos). C’était très bon et très léger, toutefois la crème a tendance à ne pas tenir et à être imbibée par le gâteau (manque de mascarpone ?). Bref pas l’idéal si vous voulez le réaliser pour recevoir du monde. La prochaine fois nous ferons une ganache montée, qui a davantage de tenue :

• 100g de chocolat blanc
• 3 càs de pâte de spéculoos
• 50g + 150g de crème fleurette froide.

1. Hachez finement le chocolat et mettez-le dans un bol. Ajoutez la pâte de spéculoos.
2. Versez les 50g de crème liquide dans une casserole et portez à ébullition. Versez cette crème en trois fois sur le mélange chocolat-spéculoos tout en mélangeant rapidement à la maryse. Le chocolat doit être fondu. Si ce n’est pas le cas, déposez le saladier sur un bain-marie.
3. Ajoutez les 150g de crème froide. Mélangez.
4. Filmez et réservez au minimum 4 heures au réfrigérateur, l’idéal étant une nuit.
5. Le lendemain, montez la ganache comme une crème chantilly.

Ensuite il ne vous reste plus qu’à assembler votre naked cake : une couche de gâteau, une couche épaisse de crème, une couche de gâteau, une couche de crème, un dernier gâteau, une couche de crème. Et notre moment préféré : la déco, avec des fruits qui apportent de la couleur.

Alors, c’était super facile non ?

On peut maintenant le couper, le savourer, mais avant on souffle la bougie et on n’oublie pas le traditionnel vœu !

Et vous, vous avez déjà testé le Naked Cake ?

Cet article Pour les <em>gourmands</em> : un <em>Naked Cake</em> chocolat & spéculoos est apparu en premier sur Carnet de printemps.

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Cet article Une tarte à la confiture de mûres. est apparu en premier sur Carnet de printemps.

J’avais très envie d’une tarte aux mûres, mais je souhaitais changer de la traditionnelle tarte à la crème pâtissière. Mais quoi d’autre alors ? Repensant à la crème chantilly de Christophe Michalak, dans laquelle il ajoute du mascarpone, j’imaginais déjà l’association de la pâte, des mûres et de cette crème. Mioum !

Comme les mûres étaient assez acides, j’ai ajouté de la confiture de mûres en première couche.

Je sais pas vous, mais moi j’en salive déjà !

Ajoutez à cette liste de la confiture de mûres et pour la garniture, environ 300g de mûres, mais ça marche aussi avec les fruits de votre choix

Avant de commencer, quelques conseils dénichés ici:

• Ne pas faire fondre le beurre. (Si comme moi vous oubliez toujours de le sortir du frigo, passez le quelques secondes seulement au micro-onde).
• Pour la réalisation des pâtes, privilégiez une farine T55 plutôt qu’une T45. La T55 est plus pauvre en gluten et se rétractera moins à la cuisson.
• Ne corsez pas trop votre pâte. J’ai eu tendance les premières fois où j’en ai réalisée à la travailler, la travailler et la travailler encore en pensant bien faire. Or mes premières pâtes étaient difficiles à étaler et très friables. Lorsque vous ajoutez la farine, travaillez jusqu’à obtenir un mélange homogène, et pas plus

Pour la pâte sucrée façon Pierre Hermé (la meilleure que j’ai mangée) :

1. Crémer le beurre avec le sucre glace.
2. Ajouter l’œuf, la poudre d’amande et la farine tamisée.
3. Mélanger jusqu’à obtenir un mélange homogène.
4. Etaler la pâte entre deux feuilles de papier cuisson et réserver quelques heures au réfrigérateur.
5. Pour le fonçage, je vous laisse jeter un coup d’œil à cette vidéo du MOF Thierry Bamas qui nous donne de précieux conseils !
6. Faire cuire 20 à 25 minutes dans un four préchauffé à 150°.

Pour la crème au mascarpone :

Pour être sûre de réussir ma chantilly je place toujours mon bol, mes fouets et la crème fleurette au congélateur environ 15 minutes. Résultat : 100% de réussite jusqu’à aujourd’hui

1. Détendre le mascarpone à la maryse. L’ajouter à la crème fleurette.
2. Fouetter en augmentant progressivement la vitesse.
3. Quand la crème commence à épaissir, ajouter le sucre glace en pluie tout en continuant à battre.
4. Continuer à battre jusqu’à l’obtention d’une crème bien ferme.

Un gourmand se cache sur cette photo

Pour le montage, il suffit de tartiner votre pâte de confiture.

Ajouter la crème au mascarpone, les mûres joliment disposées et terminer par une pluie de sucre glace. C’est tout !

La pâte se découpe très bien et se marie à merveille avec les fruits.

Pour les plus gourmands, un supplément crème est autorisé

 Si vous testez cette recette, n’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensée !

Anaïs

Cet article Tarte aux <em>Mûres</em> et Crème au <em>Mascarpone.</em> est apparu en premier sur Carnet de printemps.